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Format : 40X60
Edition de 5 (+ 1 tirage d'auteur)
Tirage en vente : 1/5 : 770€ -
Format : 60X90
Edition de 3 (+ 1 tirage d'auteur)
Tirage en vente : 1/3 : 1650€ -
Format 80X120
Edition de 2 (+ 1 tirage d'auteur)
Tirage en vente : 1/2 : 3300€ -
Format : 110X165
Edition de 1 (pas d'EA dans ce format)
Oeuvre unique
Tirage en vente : N°1/1 : 7700€ -
Tirage jet d'encre sur Fine art paper réalisé par le laboratoire Negatif + (Paris)
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Prix : de 950€ à 9900€
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Caveman (1)
PauceUn mot sur l'oeuvre
ref : PAUC001
Printemps 2007, Carine Rossigneux alors agent de Sébastien Chabal veut faire réaliser une série de photographies du champion pour faire l’évènement et ainsi surfer sur sa nouvelle notoriété, générée par quelques placages dévastateurs au pays des All Blacks l’été précédent. Les néo-zélandais, grands connaisseurs, l’ont surnommé «the caveman» (l’homme des cavernes) pour rendre hommage à sa force brute et à sa férocité. Une qualité de base au pays du long nuage blanc. Les images de ses exploits et notamment la manière dont il avait concassé Chris Masoe, pas spécialement une petite nature, ont fait le tour de la planète par la magie du web. Karine souhaite surfer sur le phénomène et fait alors appel à Pauce...Le résultat vous l’avez sous les yeux.
Le témoignage de Pauce
Au début c’était parti comme un shooting normal. le champion se prêtait au jeu mais sans enthousiasme, un peu comme un passage obligé. Il faisait le boulot, en pro, rien de plus.
A un moment, peut être une heure après le début, nous avions fait deux ou trois photos, encore rien de grandiose, quand il a reçu un appel sur son portable.
J’ai senti immédiatement qu’il se passait quelque chose. Les quelques minutes de conversation l’avaient transformé. Il m’est revenu euphorique, flottant sur un petit nuage. Il m’a confié qu’il venait d’avoir Bernard Laporte, alors coach de l’équipe de France, qui lui avait confirmé qu’il serait dans le groupe amené à disputer la Coupe du monde l’automne suivant. Sa deuxième coupe du monde, mais surtout celle qui allait de dérouler en France, chez lui.
Tout ce que je lui ai proposé de faire ensuite lui plaisait, il était à fond pour tout, pour toutes les idées les plus folles. Alors que la séance était prévue sur trois heures, nous sommes restés toute la journée ensemble à inventer des images et à les réaliser.
Le choix de Jean-Denis
Quand la connexion entre un portraitiste et un sujet se fait, ça peut faire des étincelles.
Il faut de la générosité et une forme de don de soi pour poser. Il faut laisser passer quelque chose que le photographe va percevoir et saisir. Alors quand vous avez un Chabal au sommet de sa forme, qui joue son rôle et exacerbe avec humour une image qu’il lui a eté collée à «l’insu de son plein gré» comme dirait Richard Virenque. Ça décoiffe.