Bio

Lionel Froissart est journaliste, il a démarré à Autohebdo avant de rejoindre Libération où il a fait l’essentiel de sa carrière.
Pour expliquer son rapport à la photographie, le mieux est de le laisser en parler lui même.
« Je suis venu à la photo par nécessité puis par curiosité et enfin par plaisir. Le journalisme écrit m’a toujours attiré, mais pour illustrer les premiers reportages que j’ai effectué pour des magazines spécialisés dans le sport automobile, j’étais bien obligé d’assurer en parallèle – pour des raisons budgétaires – le reportage photographique. C’est ainsi que j’ai pu immortaliser quelques pilotes devenus célèbres dès leurs débuts en kart.
J’ai alors pris goût à l’exercice de la photographie. A tel point que j’ai été l’un des trois photographes officiels du Palace – entre 1978 et 1981 – où je passais mes nuits entre les déplacements sur les circuits. J’ai ainsi des centaines de photos des fêtes les plus folles de l’époque.
Concernant, les photos sur les circuits de F1, je m’attachais surtout à faire des ambiances au plus près des pilotes et pas trop d’action car c’est l’aspect humain qui m’intéresse dans le sport automobile.
Aujourd’hui je ne fais que des photos pour mon plaisir à l’occasion de mes voyages en argentique et en Noir et blanc, au Leica, mais plus jamais sur les circuits. Il n’y quasi plus aucune possibilité d’approcher l’intimité des pilotes dans les stands comme dans le paddock. »